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objectifs agréés conjointement, les compare avec les activités offertes dans
les programmes établis, discute sur le niveau de soutien demandé à l’OTAN
pour atteindre ces objectifs et identifie les manques éventuels à combler
afin d’améliorer les programmes.
La division de coopération militaire initie le plan spécifique par pays consi-
déré puis trace une feuille de route prenant en compte leurs propres choix
d’engagement. La mise en oeuvre des activités se fait essentiellement au
niveau des commandements subordonnés. Ceci inclut les JFC (Joint Force
Command, centres de commandement interalliés) et également les centres
de formation OTAN ou des partenaires (PFP Training Centres, centres de
Formation du Partenariat pour la Paix). Bien entendu, le retour d’expé-
rience de tous les acteurs est important afin d’améliorer la qualité des pro-
grammes de coopération.
La division de coopération militaire intervient au niveau stratégique
et a deux fonctions principales : premièrement elle est en contact étroit
avec l’état-major militaire international du quartier général de l’OTAN à
Bruxelles, plus précisément la division coopération et sécurité régionale
afin de recueillir les directives du comité militaire. Deuxièmement, elle
définit les axes de coopération pour les commandements subordonnés, et
conseille l’état-major pour ce qui concerne la mise en oeuvre et la coordina-
tion des partenariats. Le développement de l’interopérabilité et du savoir-
faire des partenaires est mis en oeuvre et exécuté par le biais du programme
OCC (Operational Capability Concept, concept de Capacité opération-
nelle), lancé après le sommet d’Istanbul en 2004. Ce programme est fait
pour améliorer le niveau d’interopérabilité et les capacités militaires des
unités que les états partenaires ont désignées pour intégrer ce programme
et obtenir le standard OTAN. Pour ce faire, il met en place un processus
d’évaluation et de retour d’expérience. L’entraînement des unités désignées
est à la charge du pays partenaire.
Le programme OCC est un outil militaire concret avec un objectif opéra-
tionnel clair qui aboutit à des résultats tangibles. Ce programme peut être
utilisé au niveau tactique pour former des unités ou au niveau stratégique
pour transformer les forces armées en général. Jusqu’à présent quinze pays
partenaires font partie de ce programme et 85 unités sont déclarées com-
patibles au sein du réservoir de forces. Elles peuvent participer à des opéra-
tions menées par l’OTAN et par ailleurs beaucoup le font. Elles dépendent
alors de ICC (International Coordination Center ; Centre de Coordination
International) qui assure le lien entre les pays contributeurs et le SHAPE
pour le transfert d’informations couvertes par la confidentialité et la ré-
ponse à leurs questions et besoins en matière de textes réglementaires, ainsi
que leur représentation dans les réunions auxquelles, du fait des règles de
confidentialité, ils ne peuvent pas participer.
De par son étendue et sa complexité, la coopération et les partenariats sont
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objectifs agréés conjointement, les compare avec les activités offertes dans
les programmes établis, discute sur le niveau de soutien demandé à l’OTAN
pour atteindre ces objectifs et identifie les manques éventuels à combler
afin d’améliorer les programmes.
La division de coopération militaire initie le plan spécifique par pays consi-
déré puis trace une feuille de route prenant en compte leurs propres choix
d’engagement. La mise en oeuvre des activités se fait essentiellement au
niveau des commandements subordonnés. Ceci inclut les JFC (Joint Force
Command, centres de commandement interalliés) et également les centres
de formation OTAN ou des partenaires (PFP Training Centres, centres de
Formation du Partenariat pour la Paix). Bien entendu, le retour d’expé-
rience de tous les acteurs est important afin d’améliorer la qualité des pro-
grammes de coopération.
La division de coopération militaire intervient au niveau stratégique
et a deux fonctions principales : premièrement elle est en contact étroit
avec l’état-major militaire international du quartier général de l’OTAN à
Bruxelles, plus précisément la division coopération et sécurité régionale
afin de recueillir les directives du comité militaire. Deuxièmement, elle
définit les axes de coopération pour les commandements subordonnés, et
conseille l’état-major pour ce qui concerne la mise en oeuvre et la coordina-
tion des partenariats. Le développement de l’interopérabilité et du savoir-
faire des partenaires est mis en oeuvre et exécuté par le biais du programme
OCC (Operational Capability Concept, concept de Capacité opération-
nelle), lancé après le sommet d’Istanbul en 2004. Ce programme est fait
pour améliorer le niveau d’interopérabilité et les capacités militaires des
unités que les états partenaires ont désignées pour intégrer ce programme
et obtenir le standard OTAN. Pour ce faire, il met en place un processus
d’évaluation et de retour d’expérience. L’entraînement des unités désignées
est à la charge du pays partenaire.
Le programme OCC est un outil militaire concret avec un objectif opéra-
tionnel clair qui aboutit à des résultats tangibles. Ce programme peut être
utilisé au niveau tactique pour former des unités ou au niveau stratégique
pour transformer les forces armées en général. Jusqu’à présent quinze pays
partenaires font partie de ce programme et 85 unités sont déclarées com-
patibles au sein du réservoir de forces. Elles peuvent participer à des opéra-
tions menées par l’OTAN et par ailleurs beaucoup le font. Elles dépendent
alors de ICC (International Coordination Center ; Centre de Coordination
International) qui assure le lien entre les pays contributeurs et le SHAPE
pour le transfert d’informations couvertes par la confidentialité et la ré-
ponse à leurs questions et besoins en matière de textes réglementaires, ainsi
que leur représentation dans les réunions auxquelles, du fait des règles de
confidentialité, ils ne peuvent pas participer.
De par son étendue et sa complexité, la coopération et les partenariats sont
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